Le repas fût simple. Steak, patate et ratatouille, un repas original, n’est ce pas ?
Plume et Eric avaient apporté un bon bordeaux , il faut dire quand même, que j’étais si stressé le matin que je n’avais pas remarqué cette bouteille !!!
Les sujets de discussion n’ont pas manqué, points communs et surprises se sont dévoilés et petit à petit l’ambiance changea.
Mais le temps passait et ma femme devait retourner au boulot. Elle m’avouera le soir, qu’elle eu du mal à repartir car elle avait apprécié l’ambiance de cette pause déjeuner.
Après un bref passage dans la petite salle de bain, Plume plus détendue se présenta pour cette 2ème séance.
La scène était identique mais à la demande
générale je mis de la musique, suffisamment forte pour définitivement fermer le cocon de lumière où allait se produire Plume.
Sa nouvelle tenue était noire et
transparente , plus déshabillée que le matin.
Avec un plaisir nouveau, apaisée, un peu songeuse, Plume commença son effeuillage
En silence, en dansant au rythme de la musique
protectrice, elle laissait tomber ses tabous...
Si Eric et moi nous n’avions pas été bavards le matin, nous l’étions encore moins maintenant !
Peut-être parce
qu’il n’y avait pas besoin de parler, parce que Plume savait où elle allait nous emmener dans son spectacle...
Avec ses brefs regards complices avec Eric, Plume
s’amusait
Si Plume était encore nerveuse au départ , elle
s’abandonna ,
Allongée, presque assoupie, savourant cet instant d’être regardée
C’est peut-être pour
cela que sa main s’égara, sans doute pour évacuer les derniers zestes d’adrénaline, comme un besoin.
Je ne fût même pas surpris de ce mouvement si naturel
Je me suis appliqué
béatement, sans mot, à saisir cet instant d’abandon.
Il faisait chaud, la dernière photo arriva.
Plume détendue, avait réalisé son fantasme : s’exhiber devant un inconnu.
Bravo
Plume !
Au delà de ces deux séances si incroyables, surréalistes , c’est surtout une rencontre que je retiendrais et un partage d’émotions sans jugement, avec un couple agréable.
Pour la fin de cette article, j’arrête d’utiliser le « je » pour le remplacer par le « nous » , moi et ma femme: Je recherchais un modèle pour faire des photos, et NOUS avons rencontré un couple très complice avec qui maintenant nous partageons un moment coquin.
Nous sommes convaincus après une telle journée que la photo est un prétexte à l’amusement. Que le stress que l’on tire d’une telle séance est un plaisir troublant. Il reste ensuite le vide de la première fois, remplacé par des souvenirs inscrits dans la mémoire.
Si en plus, on a la satisfaction égoïste d’avoir réussi ses photos alors pourquoi se priver de ce plaisir ?
Mon amour est maintenant –presque- convaincue, envieuse , de faire une séance « régénératrice » avec Plume...
...mais ceci est une autre histoire !
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